Pourquoi consulter?
Pourquoi consulter un psychologue ?
Mon rôle de psychologue consiste à vous accompagner et vous guider vers l'atteinte de vos objectifs de mieux-être ou de compréhension. Vous êtes considéré comme l'expert de votre problématique : qui mieux que vous pourrait savoir comment vous vous sentez et de quoi vous avez besoin? Bien évidemment, il n'est pas toujours évident de répondre à ce genre de questions, et mon accompagnement commence parfois par vous aider à mettre des mots sur vos émotions, vos ressentis, vos besoins.
Toutes les raisons sont bonnes pour consulter un psychologue à partir du moment où vous en ressentez le besoin et l'envie:
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Un désir de changement ou une problématique personnelle : gestion des émotions, stress, anxiété, manque de confiance en soi, perte d'estime de soi, difficultés à dire non ou se positionner, angoisse, phobies, tristesse, sensibilité émotionnelle / sensorielle exacerbée, état dépressif, etc...
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Des difficultés professionnelles ou scolaire : pression sociale ou personnelle, burn-out, difficulté à couper, stress, perfectionnisme et angoisse de l'échec, harcèlement ,...
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Des difficultés relationnelles : au travail, en famille, au sein du couple, avec les pairs, à l'école, ...
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Des épreuves douloureuses : deuil, maladie grave, séparation, divorce, perte de travail,...
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Transitions de vie : tout changement, négatif (séparation, deuil, perte d'un emploi, maladie) ou positif (naissance, déménagement, mariage, arrivée d'un nouvel animal..). peuvent être générateur de stress et d'angoisse et nécessiter un accompagnement afin de l'appréhender avec davantage de sérénité
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Un vécu traumatique : il n'est pas nécessaire qu'un traumatisme soit considéré comme conséquent aux yeux de la société pour l'être à vos yeux, c'est VOTRE perception qui importe.
Mais aussi parfois des difficultés qui ne sont pas les nôtres mais qui nous impactent fortement quand même :
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lorsque son enfant qui présente des difficultés scolaires, sociales, comportementales ou personnelles ... parce qu'on s'inquiète pour lui, parce qu'on se remet en question et qu'on est remis en question par les autres, parce qu'on veut le mieux pour lui mais que les conflits éclatent bien trop souvent, etc...
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lorsqu'un proche tombe malade... parce qu'on s'inquiète pour lui, qu'on ne sait pas comment en parler, qu'on veut se montrer souriant et encourageant alors même que l'angoisse nous ronge, qu'on doit rester fort (parfois pour deux !), parce que cela génère une charge mentale supplémentaire, qu'on culpabilise d'en avoir parfois ras le bol, et pour toutes les autres émotions difficiles que cela peut générer.
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lorsque son parent vieilli et présente des dégénérescences physiques ou cognitives... parce que c'est dur de voir un proche se dégrader, parce qu'on souffre de les voir souffrir, parce qu'il faut parfois faire son deuil de la personne qu'on a connu alors qu'il est encore face à nous, parce qu'on doit admettre qu'ils ne sont pas éternels, parce qu'on est agacé (et qu'on peut culpabiliser de l'être) lorsqu'on pense qu'ils ne font pas assez d'efforts ou lorsqu'ils ont oublié une n-ième fois quelque chose (même si on sait qu'ils n'y peuvent rien!)
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lorsqu'un membre de notre fratrie présente un handicap nécessitant une attention accrue de la part de la famille... parce qu'on peut ressentir de la frustration ou de la jalousie tout en étant inquiet et attaché à notre proche, parce qu'on doit parfois grandir plus vite pour pouvoir prendre le relai des parents par moments, parce qu'on ne peut pas toujours vivre notre jeunesse comme nos amis, parce qu'on l'aime mais que notre vie est peut-être plus compliquée avec lui/elle, etc....
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lorsqu'on est aidant familial... parce que notre vie tourne autour de celle de l'aidé, qu'on doit faire le deuil de la vie d'avant et de la personne qu'on connaissait, qu'on doit revoir toute notre organisation pour être présent pour l'autre, qu'on a parfois davantage de reproches que de remerciements pour notre dévouement, que la souffrance de l'autre fait mal, ...
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lorsqu'on est propriétaire d'un animal qui présente des problèmes de santé, des troubles du comportements ou qui a des réactions qui réveillent quelque chose en nous... parce qu'on veut le mieux pour eux mais que parfois ça en suffit pas à les rendre "parfaitement éduqués" mais que tout le monde sait mieux que nous ce qu'il faut faire, parce qu'on nous dit trop souvent que "ce n'est qu'un animal" lorsqu'on commence à aborder notre souffrance, parce que cela peut avoir des impacts sur notre vie privée et notre vie sociale, ...
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lorsqu'on vieillit et qu'on vit des deuils à répétition et qu'on a souvent pour seul soutien des phrases du type "il/elle a eu une belle vie", "il/elle a fait son temps", "il/elle sera mieux à présent"... sans tenir compte de votre douleur à vous !
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Tout impact sur un membre du "système" peut impacter tous les individus qui en font partie, dont vous ! Et ce n'est pas parce que ce n'est pas notre problématique qu'on n'a pas le droit d'en être affecté !Il ne s'agit que de quelques exemples, qui sont très loins d'être exhaustifs.
Est-ce que j'ai une bonne raison de consulter ou "je suis juste trop sensible et je dois prendre sur moi ?"
Il n'y a pas une bonne raison de consulter un thérapeute, il y a VOTRE bonne raison et VOTRE besoin à vous, peu importe si les autres vous disent que "ce n'est rien" ou que "c'est la vie".
Si vous ressentez le besoin de vous faire accompagner, d'avoir une écoute empathique et sans jugement, alors vous avez une bonne raison de consulter.
Il faut cependant savoir qu'en consultant pour une problématique, il est possible que le suivi en fasse apparaitre une autre. Il vous conviendra alors de définir, en partenariat avec votre thérapeute, si c'est le bon moment pour vous pour l'aborder et travailler cette nouvelle problématique ou non. Je m'adapte à votre rythme et à vos possibilités psychologiques, mais également en termes de temps et de finances.